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IIIe Cycle de cinéma africain
La Fondation El Pájaro Azul gère des fonds publics et privés destinés à la réalisation de projets dans des pays en voie de développement qui répondent aux objectifs de la fondation, à savoir, entre autres, promouvoir et collaborer avec toute initiative et projet ayant pour but de créer de bonnes conditions pour le développement des personnes. Leurs projets sont principalement centrés sur l'Afrique subsaharienne. Ils ont travaillé avec le Bénin, l'Angola ou le Cameroun, mais la République démocratique du Congo est le pays sur lequel ils se sont le plus centrés. C'est là-bas que se trouvent la plupart de leurs projets.
Cette fondation organise en ce moment son IIIe Cycle de cinéma Africain, un festival pour rapprocher les réalités de l'Afrique, avec un autre regard sur ses protagonistes. Il se tiendra au Théâtre philarmonique d'Oviedo les 12, 13 et 14 mars 2013 à 20h00. Le prix d'entrée est de 1€ et les recettes seront reversées au Centre des enfants de la rue "Bana ya Poveda" de Kinshasa (République démocratique du Congo).
Deux des films qui forment ce cycle (Tey et Mama Africa) arrivent à Oviedo avec Casa África, dont l'un des objectifs est de faire connaître en Espagne la production cinématographique du continent africain.
Mama Africa est un hommage à la légendaire chanteuse sud-africaine et activiste Miriam Makeba, récompensée par les Grammy et connue affectueusement par ses admirateurs comme 'Mama Africa'. Le film retrace cinq décennies à travers des images d'archive, des entretiens et des extraits de concerts qui enthousiasmèrent des millions de personnes et émurent des musiciens de l'envergure de Harry Belafonte, Hugh Massekela et Paul Simon. Mama Africa saisit les moments les plus significatifs de la vie de Miriam Makeba, depuis ses engagements politiques, en passant par ses mariages, jusqu'à, bien sûr, la musique.
Quant à Tey (Aujourd'hui pour le titre français), il nous rapporte le dernier jour de la vie de Satché. Il sait qu'il sait qu'il va mourir même s'il est fort et en bonne santé. Satché accepte l'imminente arrivée de la mort. Il parcourt les rues de sa ville, passe par des endroits stratégiques qui ont marqué sa vie : la maison de ses parents, son premier amour, les amis de sa jeunesse...Une façon pour l'exilé de retrouver ses origines lorsqu'il rentre dans son pays.